Archives pour la catégorie Musée Soulages
La millionième visite du Musée Soulages
Le Musée Soulages a reçu son millionième visiteur le 10 septembre 2021.
Le Chat visite le musée Soulages
Musée Soulages, Rodez, 24 octobre 2020 – 9 mai 2021
Le visiteur va parcourir le musée en compagnie du Chat de Philippe Geluck, félin cravaté qui squatte à sa manière depuis bien longtemps le monde de l’art. On peut parler de traits d’union, d’ellipses éducatives…
Musée Soulages
Jardin du Foirail, avenue Victor Hugo
12000 Rodez
France
Réouverture du Musée Soulages le jeudi 21 mai 2020
Le musée Soulages rouvre au public jeudi 21 mai 2020.
Dès sa réouverture, le musée proposera sa nouvelle programmation 2020.
Yves Klein, des cris bleus…
Musée Soulages, Rodez
du 21 juin au 3 novembre 2019
- Voir sur le site du musée
- Catalogue
The Pritzer Architecture Prize
Galerie
Cette galerie contient 1 photo.
Le trio d’architectes du Musée Soulages (Rodez) – Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta, du cabinet espagnol RCR Architectes – a remporté le Pritzer Architecture Prize.
RCR arquitectes, médaille d’or de l’Académie d’Architecture Française 2015
« Après Rudy Ricciotti pour le Musée des Civilisations d’Europe et de Méditerranée (MuCem) de Marseille ou l’Indien Bijoy Jain en 2014, l’Académie d’Architecture Française vient de décerner la médaille d’or de l’Académie 2015 à l’agence d’architecture RCR à Olot, créée par Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta, en reconnaissance du travail effectué dans l’art de la construction. »
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Centre presse Aveyron, archives JAT
Table ronde, la naissance du musée Soulages
En présence de Pierre et Colette Soulages, de Christian Teyssèdre, président et Marc Censi, ancien président du Grand Rodez, de Carme Pigem, RCR arquitectes, des conservateurs successifs Estelle Pietrzyk et Benoît Decron, de Pierre Encrevé, de Patrice Lemoux, président des Amis du musée, de Carole Delga, secrétaire d’État chargée du commerce.
Amphithéâtre du centre universitaire Jean-François Champollion, avenue de l’Europe, Rodez.
Rodez et le musée Soulages à la une de l’Express
Le magazine hebdomadaire national l’Express publie un numéro spécial dédié à l’effet Soulages sur Rodez, en kiosque ce mercredi. Dans cette édition régionale, le magazine explore « les coulisses d’un lieu exceptionnel » et propose des « entretiens exclusifs à propos de Pierre Soulages pour son musée« , sur douze pages.
Le Bleu de l’Œil
Du 25 avril au 27 septembre 2015, le musée Soulages présente l’exposition Claude Lévêque Le Bleu de l’Oeil. Pour cette troisième exposition temporaire Benoît Decron, directeur et conservateur en chef des musées du Grand Rodez, a invité l’artiste majeur de la scène artistique française et internationale à imaginer une installation pour le musée Soulages.
L’installation se prolonge dans la ville de Rodez jusqu’au musée Fenaille avec un parcours ponctué par une vitrine de magasin abritant deux phrases de néon.
À travers une scénographie unique, Claude Lévêque invite le visiteur à se confronter à sa propre histoire. La proposition dans la salle des expositions temporaires du Musée Soulages renvoie à d’autres dispositifs in situ comme Le Grand Sommeil (Mac/Val, 2006), Le Rodeur (Palais Farnese, Rome, 2006), The Diamond Sea (CRAC de Sète, 2010) ou Sous le plus grand chapiteau du monde (Musée du Louvre, 2015).
Pour Le Bleu de l’œil au musée Soulages, le visiteur se déplace dans une clarté nocturne sous le ciel ou sous l’océan. Entouré d’ondulations bleutées, son pas s’enlise. Une déambulation dans un espace éthéré à la fois liquide et aérien, parcourue de vibrations qui perturbent la perception sensorielle du lieu. L’installation du musée Soulages révèle comme une fiction à la fois majestueuse, romantique et mystérieuse. Artiste sans concessions, Claude Lévêque isole le regardeur dans sa construction, une clairière éclairée çà et là d’éclairs de chaleur.
Le Châtiment au musée Fenaille
Le musée Soulages sera le point de départ d’un parcours qui ira du musée Soulages au musée Fenaille, écrin d’art et d’histoire, avec un dispositif lumineux intitulé Le Châtiment. L’installation placée au centre du musée, tient en une interminable branche de bois, torse et desséchée, dressée sous le ciel de la verrière obscurcie. Cette sculpture conjugue le hasard de la collecte, un bois flotté aux formes fantastiques, et son tressement de néon rouge. Un signe, une écriture.
« Une manière de décaper visuellement un dispositif qui sied habituellement aux musées de sculpture, ce « syndrome d’Orsay », déclare Benoît Decron.
Parcours dans la ville de Rodez
Deux phrases de néon seront positionnées dans la vitrine d’un ancien commerce de la ville de Rodez pour ourler et ponctuer le parcours d’un site à l’autre. Ces phrases ont une graphie fracturée, avec l’autorité d’un sens lapidaire, sans issue.
Ces manifestations complémentaires composeront ce que le musée imagine avec l’auteur comme un punctum monographique, également un parcours initiatique.