…Stade Toulousain. Or, que dit Soulages? « En rugby comme en art, il faut être attentif à ce qui échappe à l’intention. L’inattendu est essentiel. L’artiste va vers ce qu’il…
…aussitôt remarquées tant elles diffèrent de la peinture demi-figurative et très colorée de l’après-guerre. Il trouve un atelier à Paris, rue Schoelcher, près de Montparnasse. En 1948, il participe à…
…jusqu’à obtenir sur le tableau noir un grand rectangle blanc. J’ai bien cru que le professeur allait me jeter dehors, il pensait que j’étais en train de me moquer. Et…
…», des «modèles académiques » (3). Ce qui est drôle, ici, c’est qu’il parlait du rugby. Ce qui montre que quelle que soit la chose évoquée, Pierre Soulages parle de…
…même ajouter que les coups de pinceaux lents et précis de Soulages, en particulier tels qu’il les utilise dans ses œuvres sur papier, devancent de quatre décades les rubans de…
…d’équilibre et d’instabilité, de sérénité et de rupture qui ne laisse pas le regard en repos. J’y suis particulièrement sensible à la co-présence du bleu et du noir, si notoire…
…pour le faire, ils l’avaient poussé à me téléphoner. Et quelques jours plus tard, en fin de matinée, j’ai donc reçu rue Schoelcher deux ou trois filles et un garçon…
…tutoie ». Sur le rugby, ces deux-là s’entendirent très vite, surtout quand Soulages déclara: « Le jeu m’intéresse toujours même s’il y a moins d’inattendu qu’auparavant. Tout est devenu très…
…atelier, rue Schoelcher. Très intimidés, ils n’osaient me poser de questions. Alors, de mon côté, je décidai de les interroger : “ Quelles sont les peintures actuelles qui vous intéressent…
…de produire seulement un effet de mur, encore accru par les dimensions, ses ruptures assurent en fait des relations différentes avec la lumière, des contrastes de rythmes changeants qui peuvent…